« Ce qui me bouleverse dans cette sonate, c’est sa beauté tragique et désespérée. C’est une œuvre de révolte, de toutes les révoltes contre l’oppression ou contre l’inéluctabilité de la mort. D’une modernité et d’une audace inouïes, les 24 Préludes dégagent une infinie poésie et le charme vénéneux qui m’évoquent Baudelaire et ses Fleurs du Mal. » – Mikhail Rudy